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Physio Balance

Conseils pour une bonne posture au travail

février 23, 2017 //  by Physio Balance

Adopter une bonne posture au travail est plus facile à dire qu’à faire. En effet, il arrive fréquemment que les postes de travail ne soient pas adaptés aux travailleurs. Considérant que plusieurs symptômes ou problématiques peuvent découler d’une mauvaise posture au travail, il est important de prendre le temps de bien organiser son poste de travail, d’ajuster sa posture ou encore d’effectuer des exercices simples au quotidien afin de prévenir d’éventuelles blessures.

Marilyn Duval, physiothérapeute depuis 2007, travaille actuellement chez Synetik où elle fait partie d’une équipe multidisciplinaire détenant une expertise en ergonomie et en santé au travail. Elle est appelée à intervenir quotidiennement auprès de travailleurs afin d’améliorer leur posture au travail. L’article qui suit, nous sensibilise à l’importance d’adopter une bonne posture de travail et nous offre de précieux conseils ainsi que des exercices applicables au quotidien.

Maux et symptômes liés à une mauvaise posture de travail

Plusieurs maux peuvent résulter directement ou indirectement d’une mauvaise posture de travail et de ce fait, plusieurs symptômes peuvent être observés. En voici quelques exemples :

  • Douleurs cervicales et lombaires : brûlure, pincement, compression, lourdeur, raideur, tension ou autres maux ressentis au niveau du cou (région cervicale) ou du bas du dos (région lombaire).
  • Syndrome du tunnel carpien : compression ou irritation du nerf qui passe dans le tunnel carpien au niveau du poignet.
  • Hernie discale : pression au niveau du disque, possible engourdissements au niveau des jambes ou parfois même des mains et des bras.
  • Arthrose : usure ou inflammation articulaire au niveau du cou ou du bas du dos, engendrée à long terme par une mauvaise posture.

Personnes les plus sujettes aux répercussions d’une mauvaise posture au travail

Outre les personnes qui adoptent quotidiennement une position statique au travail ou encore les travailleurs qui effectuent des mouvements répétitifs, certaines personnes sont plus susceptibles que d’autres d’éprouver des problématiques liées à leur posture de travail. Par exemple :

  • Les gens atteints d’une scoliose : une courbure anormale de la colonne en lien avec la scoliose fait en sorte que les muscles travaillent plus fort en position assise ce qui peut causer d’autres problématiques.
  • Les personnes sédentaires ou ayant un travail sédentaire : l’inactivité physique cause un manque de force et d’endurance musculaire qui affecte la capacité à maintenir une bonne posture de travail, il peut en résulter certains problèmes au niveau du cou et du bas du dos.
  • Les femmes enceintes : la prise de poids au-devant du corps en lien avec la grossesse affecte la courbure normale du dos ainsi que le fonctionnement des muscles abdominaux. Ainsi, les muscles du dos doivent travailler plus fort pour maintenir une bonne posture et sont donc plus sujets aux blessures.
  • Les personnes avec un surplus de poids : le manque de tonus occasionne un manque d’endurance musculaire (souvent au niveau de la bedaine), ce qui peut provoquer des douleurs au niveau de la région lombaire qui doit compenser.
  • Les femmes avec une forte poitrine : le poids d’une poitrine volumineuse peut occasionner des tensions au niveau des épaules et du cou, ce qui peut causer certains problèmes au niveau du cou.
  • Les personnes de grandeurs extrêmes : par exemple une personne mesurant 6 pieds 8 pouces. Comme les bureaux sont généralement d’une grandeur standard, les personnes de très petite taille ou très grande taille peuvent éprouver davantage de difficulté à adopter une posture de travail adéquate.

Étapes à suivre pour adopter une bonne posture de travail

  • 1. Ajustez la hauteur de la chaise afin que les coudes (en position assise et les épaules détendues) soient au même niveau que le clavier.
  • 2. Assurez-vous que vos pieds sont à plat au sol ou encore sur un repose-pied. Le repose-pied permet une posture assise bien au fond de la chaise.
  • 3. Placez les genoux à 90°, l’arrière des genoux doit être dégagé pour favoriser une bonne circulation sanguine.
  • 4. Déposez les avant-bras sur les appuie-bras ou sur la surface de travail, les coudes à 90°. La hauteur du clavier doit être au niveau de celle des coudes (donc des appuie-bras) et la souris au même niveau que le clavier.
  • 5. Inclinez le dossier de votre chaise entre 90° et 120°.
  • 6. Évitez de « casser » les poignets vers le haut ou vers les côtés, ceux-ci doivent être en position neutre.
  • 7. Assurez-vous que vos yeux soient placés au niveau du tiers supérieur de l’écran.
  • 8. Laissez une distance de la longueur d’un bras entre vous et l’écran. Ajustez la grosseur des caractères pour faciliter la lecture au besoin.

En suivant ces quelques recommandations de base, votre position de travail sera améliorée.

Catégorie: Blogue

Manipulations et physiothérapie : ce qu’il faut savoir

février 23, 2017 //  by Physio Balance

Les manipulations sont des techniques pouvant être utilisées en physiothérapie. Souvent associées au craquement, on remarque que beaucoup d’information circule à leur sujet et provoque de la confusion au sein du grand public. Nous verrons ici que les manipulations sont des techniques bien particulières qui comportent leurs avantages et leurs inconvénients.

Luis Cyr est physiothérapeute depuis 30 ans et membre de la Canadian Academy of Manipulative Physiotherapy (CAMPT). Il a également siégé au Comité des manipulations de l’Ordre professionnel de la physiothérapie du Québec (OPPQ) qui a pour mission de délivrer les attestations aux physiothérapeutes qui souhaitent pratiquer des manipulations.

Dans cet article, monsieur Cyr nous éclaire sur le rôle des manipulations en physiothérapie et nous apporte de précieux conseils afin de comprendre les avantages et les limites de cette technique.

Qu’est-ce qu’une manipulation ?

Avant de parler des manipulations, il est important de bien différencier la manipulation de la mobilisation. Une mobilisation désigne l’ensemble des mouvements manuels effectués par les professionnels de la physiothérapie. Ainsi, même si nous avons tendance à dire que le physiothérapeute nous manipule, il serait plus juste de dire qu’il nous mobilise. La manipulation, quant à elle, est une technique de traitement utilisée parmi d’autres comme l’étirage musculaire, le renforcement ou encore l’assouplissement. Elle demande cependant des connaissances bien particulières et doit être pratiquée par des professionnels dument qualifiés afin d’être sécuritaire et efficace.

D’un point de vue technique, une manipulation consiste en un mouvement de petite amplitude, mais très rapide (haute vélocité). Elle intervient à la fin de la mobilisation d’une articulation (fin du mouvement).

Pour le patient, la manipulation sera perçue comme une action sur laquelle il n’aura aucun contrôle. Lors d’une manipulation, c’est le physiothérapeute qui garde le contrôle de la technique et de la position du patient jusqu’à la fin. Cette technique est donc différente des mobilisations, plus douces, où le patient pourra décider de manifester son inconfort ou sa douleur pendant la mobilisation. Le professionnel adaptera alors le mouvement en conséquence.

La manipulation et le craquement

Dans certains cas, il est possible d’entendre un son quand le physiothérapeute pratiquera la manipulation. Ce son (craquement) signifie que les surfaces de l’articulation se sont séparées avant de revenir à leur état initial. Les causes de ce son ne sont pas encore totalement expliquées par la communauté scientifique. L’hypothèse la plus probable serait la présence d’azote (gaz) dans le liquide qui lubrifie l’articulation. Lorsque les surfaces de l’articulation se séparent, ce gaz passe de l’état liquide à l’état gazeux ce qui produit un son semblable à un craquement.

Ce craquement est très significatif pour les patients, qui l’interprètent souvent comme une preuve de réussite du traitement. Cependant, le craquement n’est pas obligatoire dans une manipulation, puisque certaines d’entre elles resteront silencieuses alors que d’autres produiront un craquement. Le son n’est donc pas en lien avec la réussite de la technique.

L’utilité des manipulations en physiothérapie

Dans le cadre d’un traitement en physiothérapie, les manipulations seront utilisées quand on observe une limitation du mouvement. La manipulation aura alors pour objectif de redonner à l’articulation sa mobilité optimale. Il est cependant important de mentionner que toutes limitations de mobilité ne peuvent pas être manipulées.

On compte deux types de manipulations :

  • Les manipulations vertébrales, qui regroupent toutes les manipulations pratiquées au niveau de la colonne vertébrale.
  • Les manipulations périphériques, qui regroupent toutes les manipulations pratiquées au niveau des articulations des membres (coudes, poignets, chevilles, etc.).

Il est important de rappeler que la manipulation ne sera jamais la seule technique utilisée dans un traitement de physiothérapie. Elle fait toujours partie de l’ensemble d’un traitement et interviendra à la suite d’une évaluation. Elle sera souvent suivie d’autres techniques de mobilisation ou d’exercices.

Qui peut pratiquer des manipulations ?

Au Québec, seules trois catégories de professionnels sont autorisées légalement à pratiquer des manipulations :

  • les physiothérapeutes qui détiennent une attestation à cet effet ;
  • les chiropraticiens ;
  • les médecins.

Quels sont les risques ?

Comme tout traitement médical, les manipulations comportent des risques plus ou moins graves. Elles peuvent causer des réactions inflammatoires, ce qui signifie qu’elles n’étaient pas indiquées ou que le mouvement était trop fort. Cette réaction, qui peut être ressentie comme une entorse, n’aura que très peu de conséquences à long terme et disparaitra quelques jours après le traitement.

Les conséquences les plus graves sont rencontrées au niveau des manipulations de la région cervicale et peuvent aller de la paralysie jusqu’à la mort. Ces risques sont, entre autres, dus à l’endommagement de l’artère vertébrale qui passe à travers les vertèbres du cou. La plupart des cas de paralysie et de mortalité semblent être causés par l’utilisation d’un certain type de manipulations que les physiothérapeutes ont remplacées par des techniques plus sures.

Ainsi, malgré leur efficacité, les manipulations doivent être pratiquées de façon sécuritaire afin de protéger le public. C’est pourquoi, une attestation a été mise en place pour les physiothérapeutes qui souhaitent pratiquer des manipulations. Le Comité de l’OPPQ évalue les demandes de chaque professionnel afin de s’assurer que sa technique est réglementaire et sécuritaire.

Le physiothérapeute doit alors prouver qu’il a les capacités de faire des manipulations et qu’il les effectuera de façon sécuritaire.

Conseils d’un physiothérapeute

En conclusion, monsieur Cyr vous donne quelques conseils si vous devez subir des manipulations dans le cadre d’un traitement en physiothérapie.

1. Assurez-vous de tenir votre physiothérapeute informé de toute évolution de votre état de santé.

2. N’hésitez jamais à parler avec votre physiothérapeute si vous n’êtes pas à l’aise avec le traitement ou encore si vous ressentez de l’inconfort ou de la douleur.

3. Vous devez d’abord donner votre consentement. Avant de pratiquer une manipulation, le physiothérapeute doit vous parler du traitement et de ses conséquences. Vous devez alors donner votre consentement oral ou écrit, en fonction du type de manipulations. En cas de doute ou d’incompréhension, n’hésitez donc pas à lui poser vos questions. Vous pouvez également demander une démonstration de la technique afin d’être à l’aise avec cette dernière et de donner votre consentement en toute quiétude.

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Research Scientifique Dynavision

février 23, 2017 //  by Physio Balance

Recent News information about Dynavision http://www.dynavisioninternational.com/news

Healthy you New tool helps kids with ADHD improve concentration

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L’entraînement visuel sportif et Dynavision

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